Ouvertes, elles accueillent,
Ces mains-là, je les aime
Ouvertes, je les effeuille
» Je ne t’aime plus, je t’aime »
-Marguerites de chair,
Ces mains-là, je les cueille,
Je les porte au désert,
Je les mets sur le seuil,
Et le désert revit…
Ces mains savent toucher
Et elles nous convient
A toujours plus aimer
Poème collectif